La Vieille Maison

Comme l'hirondelle rebâtit son nid après la tempête

Ainsi l'Acadien a rebâtit sa demeure après l'exile.

TIME CAPSULE / CAPSULE TEMPORELLE

122745952_10158555061154156_6320531171604124710_n_edited_edited.jpg

History and Heritage

La Vieille Maison - a philantropic legacy of famed Boston dancer Adolphe Robicheau, is the last of the early French Acadian settler homesteads. It is an exact restoration of the homes built by the few Acadians who wandered back to their homeland in 1768, three years after their land had been confiscated by the British, and they had been expelled from Nova Scotia, and considered the most well-preserved post-exile structures in Nova Scotia.

Situated among the modern, brightly painted dwellings of today, with it's drab, dark brown exterior relieved by one splash of colour - the French blue door - it appears out of place. And it is. It is meant to be. To the hardy French Acadians of Meteghan, it stands as a beloved symbol of their ancestors' return.

The site was purpose-built as a living-museum in 1958 and operated until 2002.

Over twenty years later, it's revival is on the horizon.

As the mantle so proudly declares,

"As the swallow rebuilds his nest after the storm,

so has the Acadian rebuilt his home after exile."

Histoire et héritage

La Vieille Maison, un lègue philanthropique célébré danseur Adolphe Robicheau, s'agit d'une conservation exacte des maisons construites par les quelques Acadiens qui sont retournés sur leur terre natale en 1768, trois ans après la confiscation de leurs terres par les Britanniques et leur expulsion de la Nouvelle-Écosse, et elle est considérée comme la structure post-exil la mieux préservée de Nouvelle-Écosse.

Située parmi les habitations modernes aux couleurs vives d'aujourd'hui, avec son extérieur terne et brun foncé soulagé par une touche de couleur - la porte bleue française - elle ne semble pas à sa place. Et elle l'est. Elle est censée l'être. Pour les Acadiens français de Meteghan, elle est un symbole bien-aimé du retour de leurs ancêtres.

Le site est aménagé en musée-vivant en 1958 et exploité jusqu'en 2002.

Plus de vingt ans plus tard, sa réouverture est à l'horizon.

Comme le dit si fièrement la cheminée,

"Comme l'hirondelle reconstruit son nid après la tempête,

ainsi l'Acadien a reconstruit sa maison après l'exil."